Michael Flomen à Maria
Michael Flomen est né à Montréal en 1952.
Le moment idéal pour observer cette installation est au crépuscule ou durant la nuit. C’est à ce moment que les photogrammes ont été réalisés, lorsque sortent les lucioles pour émettre de la lumière.
EXPOSITION : HIGHER GROUND (EN HAUTEUR)
Parc du Vieux-Quai (Auberge Mowatt) | 550, boulevard Perron | Maria
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Michael Flomen, Montréal (Québec) | www.michaelflomen.com
Il a commencé à faire de la photographie à la fin des années 1960 et ses œuvres ont été exposées sur plusieurs continents depuis 1972. Il a été imprimeur en chambre noire et collaborateur pour différents artistes, notamment dans le cadre de l’exposition itinérante de Jacques Henri Lartigue au Canada et aux États-Unis au cours des années 1970. Le premier livre de « photographies de rue » de Michael Flomen, suivant l’approche formaliste de Cartier-Bresson en photographie, a été publié en 1980, suivi par Still Life Draped Stone en 1985. Changeant de format de caméra au début des années 1990, il a photographié la neige et produit des œuvres intitulées RISING. Au cours des quinze dernières années, cet artiste autodidacte a utilisé des techniques sans caméra afin d’être plus près de la nature. Il puise son inspiration dans les diverses formes de l’eau, dans la lumière des lucioles, le vent et d’autres phénomènes naturels. Les œuvres de Michael Flomen sont présentes dans les collections de la George Eastman House (Rochester), du Los Angeles County Museum of Art, du Musée national des beaux-arts du Québec, du Norton Museum of Fine Art (Floride), du Philadelphia Museum of Art, du Musée des beaux-arts du Canada (Ottawa) et du Whitney Museum of American Art (New York).
EXPOSITION PRÉSENTÉE LORS DES RENCONTRES : HIGHER GROUND (EN HAUTEUR)
Les photogrammes de l’exposition Higher Ground sont le fruit d’un dialogue entre l’artiste et la nature, en particulier avec les lucioles. Le grand format permet de saisir l’interaction des énergies entre les éléments naturels dans la campagne la nuit, y captant la lumière naturelle des lucioles.
Cet événement dans le paysage, recueilli au début de l’été, incite à une méditation universelle sur qui nous sommes et où nous sommes. Les mondes macroscopiques et microscopiques se fondent en une image empreinte de moments magiques et mystiques.